Comment les banques enquêtent-elles sur les transactions non autorisées ?
Faire confiance aux banques pour mettre fin aux transactions non autorisées
Les banques enquêtent sur les transactions non autorisées afin d’éliminer la fraude et les pertes coûteuses pour les entreprises et les particuliers. Mais dans la pratique, il ne suffit pas de s’en remettre aux banques. Les institutions financières doivent mettre en place des processus et des solutions de protection contre la fraude rigoureuses afin de réduire les risques et de protéger la réputation et la crédibilité de leur marque.
Mais comment les banques enquêtent-elles sur les transactions non autorisées ? Dans un monde où le commerce international évolue rapidement, la détection rapide des fraudes est incontournable. Cependant, tenter de prévenir et de détecter la fraude manuellement prend du temps et est sujet à d’inévitables erreurs humaines. Les banques utilisent une détection basée sur des règles qui signalent une intervention manuelle en cas de détection éventuelle de fraude. Cependant, la fenêtre d’investigation et d’action manuelle est généralement de 30 à 90 jours pour les banques, ce qui peut signifier que vos liquidités ont déjà disparu depuis longtemps avant que la banque n’ait fait quoi que ce soit. Découvrez le rôle de l’automatisation dans la détection et la prévention des fraudes.
La détection est la première étape d’une enquête
Des protocoles de détection de la fraude appropriés sont essentiels pour lancer des enquêtes sérieuses et réduire la fraude. L’automatisation des solutions d’automatisation financière détecte automatiquement les incohérences pour trouver les transactions frauduleuses en temps réel, en se basant sur les écarts par rapport aux politiques et procédures standard dans le processus de facturation ou de paiement, ainsi que sur les changements inattendus dans les détails du fournisseur, comme l’acheminement du paiement ou les informations bancaires.
Par ailleurs, l’équipe financière travaille dans un environnement cloud sécurisé pour favoriser la collaboration et la communication à partir de n’importe quel appareil et de n’importe quel endroit. Quand vous combinez cela avec les politiques des banques en matière de détection des fraudes, vous pouvez vraiment exploiter la puissance de l’automatisation pour trouver des incohérences et lancer une enquête rapidement afin de réduire les pertes.
Comment les banques enquêtent-elles ?
Les banques engagent du personnel, comme des enquêteurs internes sur la fraude au crédit, qui utilisent les traces électroniques des transactions et les règles basées sur les comptes pour déterminer l’origine des transactions frauduleuses. Par ailleurs, elles font preuve de diligence quand un débit non autorisé est signalé par une société dans un rapport d’activité suspecte (SAR) qui doit être déposé par le propriétaire du compte dans un délai de 30 jours. Les banques doivent réagir en recherchant les pièces justificatives des transactions douteuses.
Selon la réglementation en vigueur, les banques ont besoin de 30 à 90 jours pour évaluer, répondre et résoudre les transactions problématiques. Dans certains cas, les forces de l’ordre peuvent être informées en fonction du niveau de fraude et d’usurpation d’identité.
Qui est responsable des fraudes à la carte de crédit et à l’ACH ?
Les banques exigent des commerçants qu’ils remboursent les paiements contestés, par exemple, les frais non autorisés, les biens ou services non livrés ou les frais dus à des erreurs. La banque facture alors au commerçant des frais ou une rétrofacturation.
Une enquête diligente sur les transactions non autorisées permet de réduire ces pertes et d’entretenir de solides relations commerciales. En 2021, les chèques et les débits ACH étaient les modes de paiement les plus touchés par les activités frauduleuses. Et le service des comptes fournisseurs est le plus susceptible d’être victime d’une fraude par compromission d’e-mail d’entreprise (BEC). Selon l’étude L’enquête 2022 de l’AFP® sur la fraude et le contrôle des paiements, 58 % des personnes interrogées ont signalé des escroqueries par e-mail ciblant leur service CF.
Protection contre la fraude
Avec les délais d’attente des enquêtes et le manque de scrupules sur les transactions uniques de facturation et de paiement de vos divisions, les transactions frauduleuses peuvent entraîner de lourdes pertes commerciales. Il n’en reste pas moins que les entreprises ne peuvent pas compter uniquement sur les banques pour la résolution des fraudes. Par ailleurs, les transactions frauduleuses deviennent une expérience négative pour les consommateurs, ce qui nuit à la réputation de la marque et à sa rentabilité future.
L’adoption de l’automatisation des CF pour simplifier les flux de travail, prendre en charge le travail à distance et détecter les fraudes est une nécessité plutôt qu’un luxe dans un commerce mondial qui évolue rapidement. Par ailleurs, l’adoption de solutions d’automatisation des CF réduit les risques et les coûts qui ont un impact sur le résultat net. Par conséquent, les entreprises réalisent rapidement un retour sur investissement mesurable pour investir dans l’automatisation afin d’éliminer la fraude B2B, de protéger les relations avec les fournisseurs et d’améliorer la fidélité à la marque.
Les entreprises doivent aller au-delà de la question de savoir comment les banques enquêtent sur les transactions non autorisées. La direction doit adopter des politiques de détection, de signalement et d’investigation des actes de fraude et former les employés à la détection des fraudes. L’investissement dans l’automatisation de la CF réduit les risques et contribue à éliminer la fraude. Contactez les experts de Medius dès aujourd’hui pour en savoir plus sur la responsabilité liée à la prévention de la fraude et sur la façon dont l’automatisation accélère le processus.
Les processus obsolètes vous freinent-ils ?
Le personnel chargé des comptes fournisseurs est en première ligne des changements de l’entreprise et est souvent chargé de mettre en œuvre des modifications de la politique de trésorerie en temps quasi réel. À bien des égards, la comptabilité fournisseurs est devenue la tour de contrôle de la gestion des dépenses au sein de l’organisation. Cependant, beaucoup d’entre eux sont coincés avec des outils hérités et des processus dépassés, ce qui crée des inefficacités massives. La véritable promesse de l’IA et de l’apprentissage automatique au sein des comptes fournisseurs n’est pas seulement de simplifier les processus, mais de les éliminer.
Ce rapport d’IDC explore comment l’automatisation de la comptabilité fournisseurs d’aujourd’hui évolue pour rendre cette discipline autonome à l’avenir.